Ceux qui me connaissent un brin savent à quel point je l’aime d’amour, cette écrivaine. Un coup de foudre né de la lecture de son premier roman, Moi d’abord, il y a des lunes. Jamais personne ne m’avait « parlé » autant. Mais bon, si vous me suivez un peu, vous savez. Je l’ai déjà raconté.
Pendant qu’elle écrivait le tome 3 de sa trilogie, j’écrivais le 2 ème de la mienne. Et parfois, nous échangions. Elle, dans sa maison en Normandie. Moi, dans ma cabane au Canada.
Je ne lui avait pas écrit depuis plusieurs mois. Et puis, en ce début de 2011, une envie de lui parler. Je garde la majorité du contenu pour moi. Pudeur.
Mais je vous offre cette phrase de elle à moi. Cette phrase qui résume toute la beauté et la profonde sensibilité de cette belle blonde que j’adore… (une autre!)
J’aime cette idée que nous formons une chaîne d’amitié et d’amour sans le savoir et qu’on se tient par la main et qu’on ne se lâche pas…
Je t’embrasse, Katherine. Merci pour tout.